la conservation de l'électricité et de la crise énergétique

Une grande partie de l'accent mis sur la crise de l'énergie en Amérique a été sur les voitures que nous conduisons, et avec raison. Voitures brûlent des combustibles fossiles, la création de smog constitué de gaz à effet de serre, qui a ensuite pièges de la chaleur du soleil et réchauffe l'environnement. Cela provoque le réchauffement climatique, qui est une menace très réelle pour notre bien-être continu en tant qu'espèce.

Mais vous ne devriez pas se concentrer uniquement sur votre voiture. conservation de l'électricité à la maison peut aider à jouer un rôle dans la crise de l'énergie et la conservation de l'électricité peut aussi mettre un peu d'argent dans votre poche à la fin de chaque mois.

Ici, à New York, nous avons dit que le simple fait que, pour chaque degré vous baissez la chaleur pendant l'hiver, votre facture d'électricité sera moins trois pour cent (en supposant, bien sûr, que vous avez le chauffage électrique). Ceci s'applique en été ainsi, avec la prépondérance des climatiseurs allant matin Full Blast, midi et soir. Quand il s'agit de la conservation de l'électricité, c'est une préoccupation toute l'année.

Pourquoi? Eh bien, comme je l'ai mentionné avant, le réchauffement climatique est une menace réelle qui pourrait avoir des conséquences dévastatrices. Ce qui suit est de l 'entrée de wikipedia.org sur le sujet:

Le réchauffement climatique est l'augmentation de la température moyenne de l'air et des océans près de la surface de la Terre depuis le milieu du 20e siècle et sa continuation projetée. La température de la surface du globe a augmenté au cours du siècle dernier. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) conclut que l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre résultant des activités humaines telles que la combustion de combustibles fossiles et de la déforestation causée plus de l'augmentation de température observée depuis le milieu du 20e siècle. Le GIEC conclut également que les variations des phénomènes naturels tels que le rayonnement solaire et les volcans produit l'essentiel du réchauffement de l'époque pré-industrielle à 1950 et a eu un léger effet de refroidissement par la suite. Ces conclusions de base ont été approuvées par plus de 40 sociétés scientifiques et académies des sciences, [B], y compris l'ensemble des académies nationales des sciences des grands pays industrialisés. Un petit nombre de scientifiques contestent le point de vue consensuel.

Les projections des modèles climatiques résumées dans le dernier rapport du GIEC indiquent que la température de la surface du globe sera probablement encore augmenter au cours du XXIe siècle. L'incertitude de cette estimation provient de l'utilisation de modèles avec une sensibilité différente à des concentrations de gaz à effet de serre et l'utilisation des estimations des futures émissions de gaz différents. D'autres incertitudes comprennent comment le réchauffement et les changements liés varient d'une région à travers le monde. La plupart des études portent sur la période allant jusqu'à l'an 2100. Cependant, le réchauffement devrait se poursuivre au-delà de 2100, même si les émissions s'arrêtent, en raison de la grande capacité thermique des océans et la longue durée de vie du dioxyde de carbone dans l'atmosphère.

Une augmentation de la température mondiale entraînera niveau de la mer à la hausse et vont changer le montant et la structure des précipitations, y compris sans doute l'expansion des déserts subtropicaux. Le recul continu des glaciers, le pergélisol et la glace de mer est attendue, avec le réchauffement étant la plus forte dans l'Arctique. D'autres effets possibles comprennent l'augmentation de l'intensité des événements météorologiques extrêmes, l'extinction des espèces et des changements dans les rendements agricoles.